Tag: Fils de prolétaire
Quand le peu importe, Biennale de photographie de Molenbeek Saint-Jean
Dans le magazine Le Vif
Zone critique : Dans l’oeil de l’enfance, article de Rodolphe Perez
Fils de prolétaire, présentation au Centre culturel de Huy, Les Matins du livre
Fils de prolétaire, dans la revue littéraire Dissonances
Fils de prolétaire à l’Intime festival à Namur
Présentation de Fils de prolétaire au Centre Wallonie Bruxelles à Paris
Files de prolétaire, présentation à la librairie Pax à Liège
Fils de prolétaire – revue de presse
Fils de prolétaire, éditions Arléa
Premier récit autobiographique, sans photographies.
Moi, je suis né avec l’œil gauche fermé, ce qui préfigurait peut-être mes aptitudes à la photographie. Le ou la photographe est une personne qui regarde le monde d’un œil ouvert, vissé sur l’oculaire de l’appareil, l’autre dos sur l’univers intérieur.
Philippe Herbet, photographe, a grandi en Belgique dans une famille modeste où le bonheur tient moins de place que le monde obstiné des choses et des souvenirs : un manteau trop grand qui servira des années, les soirées passées devant Des Chiffres et des Lettres, un oncle aux airs d’Elvis et le coquillage du grand-père dans lequel on entend la mer.
Mais ce sont dans les enfances silencieuses et les désirs de lointain que naissent les rêves et le sentiment de la joie.